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Via Morvan, voie verte en Morvan

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De quoi parle-t-on ?

Depuis 2021, les 6 communautés de communes traversées par l’ancienne voie ferrée reliant Avallon et Autun (en passant par La-Roche-en-Brenil, Saulieu, Liernais, Cordesse…) se rassemblent autour d’un projet de transformation de cette ligne en voie verte. Il s’agit d’un projet d’envergure régionale (90 km), structurant pour la façade Est du massif du Morvan, puisque le tracé traverse 22 communes, sur les 3 départements de l’Yonne, de la Côte-d’Or et de Saône-et-Loire (cf. carte ci-jointe).

Il constitue une réponse aux besoins d’itinérance touristique qui permettra d’attirer de nouveaux visiteurs (séjours vélo en famille, circuit cyclo pour les sportifs…), mais également une réponse aux enjeux de déplacements quotidiens des habitants dans chacun des bourgs traversés ou à proximité de la voie grâce à la création d’un itinéraire sécurisé (trajet domicile-travail en vélo, balade du dimanche en famille…).

Où en est le projet ?

Un comité de pilotage du projet, animé par le Parc du Morvan, réunit les 6 communautés de communes, les Pays Avallonnais et de l’Auxois-Morvan, les 3 départements, la Région et les services de l’Etat. Les élus des 22 communes traversées sont également mobilisés.

Le déclassement de la voie ferrée est engagé auprès de la SNCF, pour sa transformation en voie verte. L’ensemble des communautés de communes ont délibéré favorablement dans ce sens. Ce processus de déclassement devraient aboutir fin 2024.

Le Parc du Morvan, en tant que coordinateur a porté aujourd’hui une étude de faisabilité du projet comprenant trois volets qui visent à :

  • étudier la faisabilité technique et financière du projet (calibrer les travaux et les choix d’équipements au regard du tracé, estimer les coûts…),

  • mesurer la plus-value de ce nouvel itinéraire dans l’offre touristique d’itinérance et sa complémentarité avec l’offre touristique locale,

  • analyser son bénéfice pour les déplacements quotidiens des habitants, comme alternative à l’usage de la voiture, et mettre en lumière les besoins d’aménagements qui permettraient de relier la voie verte aux villages voisins de façon plus sécurisée pour les vélos (ou autres mobilités douces).

 

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